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Retrouvez toute l'actualité de CARE France
La prochaine conférence des bailleurs pour le Yémen, qui se tiendra le 1er mars, et les financements de l’aide décideront de la vie et la mort pour 400 000 enfants. Le Yémen est considéré comme la plus grande crise humanitaire du monde. Cinq millions de personnes sont actuellement au bord de la famine et plus des deux tiers de la population du pays ont besoin d’une aide humanitaire ou d’une protection. La situation ne pourrait être plus urgente, alertent 12 ONG.
Vingt-deux organisations d’aide humanitaire travaillant au Yémen sont extrêmement préoccupées par les conséquences humanitaires de la décision, entrée en vigueur le 19 janvier, d’inscrire Ansar Allah (aussi connu comme les « Houthis ») dans la liste des organisations terroristes étrangères.
Le gouvernement français s'oppose à plus de transparence et de contrôle démocratique sur le contrôle de ses ventes d’armes, selon une note confidentielle révélée par le média Disclose. L’exécutif entend enterrer les recommandations d'un récent rapport parlementaire sur ce sujet. L'enjeu est pourtant crucial : s'assurer que les armes françaises ne soient pas utilisées contre des civils dans le monde.
La Mission d'information sur le contrôle des exportations d'armement a remis le 18 novembre son rapport. Celui-ci acte la nécessité d’une transparence considérablement renforcée de la part du gouvernement sur les ventes d’armes françaises et préconise de doter enfin le Parlement « d’un véritable pouvoir de contrôle » sur celles-ci. 13 ONG appellent le pouvoir exécutif à répondre rapidement et positivement à cette exigence de contrôle et de transparence.
Après six ans de guerre, les souffrances des Yéménites se poursuivent : 80% de la population a besoin d’aide humanitaire. La récente intensification des combats ont fait des dizaines de morts parmi les civils et entrainé la fuite de 90 000 personnes, déjà extrêmement vulnérables. À ceci s’ajoute une terrible situation d’insécurité alimentaire et la menace des maladies.
Au Yémen, deux tiers de la population - 20 millions de personnes - sont touchés par la faim, et près de 1,5 million de familles dépendent actuellement de l'aide alimentaire pour survivre. Alors que l’ONU démarre cette semaine sa 75ème Assemblée Générale, CARE et 23 ONG internationales appellent les membres du Conseil de Sécurité à prioriser d’urgence la paix et l’aide humanitaire au Yémen.
Alors que l’ONU a publié aujourd’hui un rapport sur le niveau inquiétant d’insécurité alimentaire dans le sud du Yémen, CARE alerte également sur la situation dans le nord du pays, où les données ne sont pas disponibles. Les personnes vivant dans les zones de conflit et difficiles d'accès, ainsi que celles qui ont été déplacées à l'intérieur du pays, sont encore plus exposées à la faim et à la malnutrition.
Alors qu’aujourd’hui se tient virtuellement la conférence des bailleurs pour le Yémen, 24 ONG alertent sur l'impact du déficit de financement dans le pays. Après 5 années de guerre, le Yémen est la plus grande crise humanitaire au monde, et avec la propagation rapide du Covid-19 dans le pays, le retrait des fonds de certains donateurs serait une catastrophe.
Après des semaines de spéculation, le ministère de la Santé du Yémen a confirmé que le Coronavirus a causé la mort de deux personnes dans la ville d'Aden. Avec ce virus, qui s’ajoute à cinq années de guerre, de destructions et de faim, la catastrophe est imminente. Voici l’appel de nos équipes locales
Dans les pays les plus vulnérables, déjà en proie à une crise humanitaire, la pandémie de Coronavirus fait craindre le pire. C’est le cas notamment du Yémen, pire crise humanitaire au monde, où a été recensé le premier cas de coronavirus, ou encore de la République Démocratique du Congo, qui en plus du Coronavirus, doit faire face à une reprise de l’épidémie d’Ebola. Les équipes de CARE sur le terrain témoignent de leurs inquiétudes.
Après cinq ans de guerre, les populations Yéménites sont à bout de souffle. La situation humanitaire catastrophique est aggravée par la menace de l'épidémie du Coronavirus. CARE et 58 ONG réagissent à l'annonce d'un cessez-le-feu temporaire.
Depuis cinq ans maintenant, les Yéménites sont plongés dans une guerre sans fin. C’est aujourd’hui la pire crise humanitaire au monde. L’inquiétude se renforce quant à l’éventuelle arrivée du Coronavirussur place qui serait dévastatrice pour les populations. Qu’en est-il de la situation actuelle ? Nos équipes racontent.
11 ONG dénoncent les attaques survenues ce samedi 15 février dans le nord du Yémen où 31 civils sont morts et 12 ont été blessés. Nous appelons les parties au conflit à respecter le droit international et à protéger les civils et les infrastructures civiles.
Il y a deux ans, Thaibah a perdu l’usage de ses deux jambes en marchant sur une mine au Yémen. Après 4 ans de guerre interminable, les Yéménites traversent la plus grave crise humanitaire au monde. CARE se mobilise pour leur apporter une aide humanitaire, particulièrement aux femmes et aux enfants, très vulnérables en période de conflits. Découvrez son témoignage bouleversant.
En 2019 un quart des pertes civiles au Yémen ont été recensées dans le gouvernorat d’Hodeidah. Malgré un cessez-le-feu dans la ville portuaire se trouvant au cœur de l'Accord de Stockholm en 2018, Hodeidah est l’endroit ayant connu le plus de victimes civiles depuis un an avec 799 morts. Un grand nombre de déplacés sont également issus de cette région.
Bien que les conséquences des conflits armés frappent les communautés dans leur ensemble, elles affectent plus particulièrement les femmes et les enfants. Leurs droits sont bafoués et ils sont victimes de terribles violences. 3 points pour comprendre.
Aujourd’hui encore, être une femme est une lutte dans de nombreux pays du monde. Mais être une femme dans un pays en guerre… c’est pour beaucoup, une double peine. République démocratique du Congo, Syrie, Yémen... Partout où sévissent les conflits, les droits et la dignité des femmes et des enfants sont bafoués. Ensemble, nous pouvons les aider. Découvrez comment !
Après plus de trois années de fermeture, l’aéroport international de Sanaa va être ré-ouvert pour les malades ayant besoin de traitements vitaux à l’étranger. 32 000 personnes seraient mortes par manque de soins durant ces trois années de blocus. Cette réouverture est un signal important envoyé par les parties au conflit. Il faut maintenant aller plus loin pour une réouverture totale de l’aéroport.
Murad Subay, street-artiste yéménite et membre du programme Artist Protection Fund, s’engage aux côtés de sept ONG humanitaires et de défense des droits humains pour alerter l’opinion publique française sur un conflit à l’origine de l’une des plus importantes crises humanitaires au monde. Murad Subay a réalisé, sur un mur du 3ème arrondissement de Paris, une fresque visant à dénoncer les ventes d’armes françaises dans ce conflit. L’œuvre restera visible durant une semaine au carrefour des rues Vieille du Temple et Quatre Fils.
Syrie, Myanmar, Soudan du Sud...Les civils sont devenus les premières victimes des conflits armés dans le monde, en complète violation du droit humanitaire international. Fanny Petitbon, responsable plaidoyer de CARE France, alerte sur cette situation en 4 points.
Camille Nozières, 07 86 00 42 75, nozieres@carefrance.org