Dans le monde, 235 millions de femmes ne sont pas protégées contre les violences ou le harcèlement sexuel au travail et ce malgré les conséquences dramatiques pour les victimes. C’est pourquoi CARE se bat pour l’adoption d’un traité international qui protégerait les femmes sur leur lieu de travail. 

Un peu plus d’un an après #MeToo, CARE appelle à l’adoption d’une convention internationale pour que chacun et chacune puisse se sentir en sécurité sur son lieu de travail.

Plus d’un tiers des pays du monde n’ont pas de lois interdisant le harcèlement. Des travailleuses domestiques en Équateur, aux employées d’usines au Cambodge, les femmes se battent dans le monde entier pour obtenir la sécurité et le respect.

En juin 2019, les gouvernements, les entreprises et les syndicats vont se réunir pour voter le premier traité mondial sur le sujet. Cette convention internationale transmettrait un message clair au monde entier : le harcèlement et les violences au travail ne sont pas acceptables !

L'action de CARE

  • CARE a lancé une mobilisation mondiale Au boulot #ViolenceZéro pour soutenir l’adoption de cette convention à l’OIT et lutter contre les violences et le harcèlement au travail.
  • En juin 2018, plus de 35 000 personnes en France et plus de 125 000 dans le monde ont signé la pétition lancé par le réseau CARE en faveur de cette convention. 
  • En mai 2019, cinq grandes entreprises françaises se sont mobilisées à nos côtés pour exiger une convention internationale ambitieuse.
  • Et sur le terrain ? Partout dans le monde, CARE défend les droits des femmes et lutte contre les violences faites aux femmes aussi bien dans la sphère privée que professionnelle. Par exemple : en Amérique latine, nous soutenons les organisations de travailleuses domestiques pour la défense de leurs droits. En Asie, nous luttons contre les violences dans les usines. Nos programmes soutiennent l’autonomisation économique des femmes et le travail digne.