Créer un monde post-Covid, un monde plus juste ? C’est possible, avec et grâce aux femmes. Pour preuve, découvrez le témoignage de trois femmes qui se battent sur trois continents pour un monde meilleur. Et vous aussi, engagez-vous ! Faites entendre votre voix en signant notre manifeste #NoubliezPasLesFemmes.

En Côte d’Ivoire, Salamatou soutient le développement économique de sa région.

Contrainte de fuir un mari violent, Salamatou a aujourd’hui reconstruit sa vie, et bien plus !

Elle a aidé plus de 250 000 femmes à gagner leur indépendance économique. Comment ? 

Salamatou a créé plus de 150 groupes de femmes avec le soutien de CARE. En mettant leur épargne en commun, elles peuvent lancer des petits business et construire leur avenir. 

Leurs actions profitent aussi à toute leur région. Non seulement, ces femmes participent au dynamisme économique de leurs villages mais elles se battent contre les mariages forcés et défendent l’éducation des filles.

« De trop nombreuses femmes ont la même histoire que moi. En nous aidant les unes les autres, nous changeons nos vies et celles de nos enfants », explique Salamatou. 

Salamatou, entrepreneure en Côte d'Ivoire soutenue par CARE.
© CARE

Au Pérou, Reyna préserve la biodiversité.

Apicultrice, Reyna est une entrepreneure accomplie !

Et à 50 ans, elle ne baisse pas les bras, même face aux nouvelles difficultés provoquées par le changement climatique.

Reyna a acheté plus de ruches et a agrandi son activité avec le soutien financier de CARE. Pour elle, l’apiculture est un excellent moyen pour faire vivre sa famille et permettre à ses 3 enfants d’aller à l’école. Mais pas que ! À travers son exploitation, Reyna participe aussi à la préservation de l’environnement : et oui, grâce à la pollinisation, les abeilles sont un maillon essentiel de la biodiversité ! Et pour Reyna, protéger notre planète n'est pas une option. C’est notre avenir à toutes et tous qui en dépend.

« Je dois protéger les abeilles non seulement parce qu'elles sont ma source de revenus, mais aussi parce qu’elles sont très importantes pour l'environnement », explique Reyna. 

Reyna, apicultrice au Pérou soutenue par CARE.
© CARE

Au Népal, Bhumika soutient l’éducation des filles

Au Népal, la tradition du Chapaudi oblige les femmes et les filles à s’exiler durant leurs règles, parce qu'elles sont alors considérées comme impures. Cette pratique est traumatisante et dangereuse.

« Le jour de mes premières règles, à 13 ans, ma mère m’a emmené à l’étable et m’a dit que je devrais y rester à chaque fois que j’aurais mes règles. J'ai pleuré et supplié mes parents », explique Bhumika. 

À 15 ans, Bhumika a décidé de changer les choses avec le soutien de CARE. Elle a d’abord convaincu ses parents du danger du Chapaudi. Puis elle a mobilisé un groupe d’élèves pour aider toutes les filles de son village. 

Et elle a gagné une victoire importante ! Son école s’est engagée à construire des toilettes réservées aux filles et adaptées à leurs besoins. Des serviettes périodiques gratuites seront aussi mises à disposition. Maintenant, les filles peuvent continuer d’aller à l’école même quand elles ont leurs règles. Elles peuvent s’éduquer, défendre leurs droits et trouver un meilleur travail.

Bhumika se bat contre le tabou des règles au Népal avec le soutien de CARE.
© CARE

Vous aussi contribuez à un monde meilleur !

« Nous avons des rêves, nous avons une voix. Et ensemble, nous pouvons devenir le changement dont le monde a besoin », raconte Bhumika au Népal. Et vous ? Quel sera votre rôle dans la construction de ce monde plus juste ? Nous avons besoin de vous ! 

Signez notre manifeste #NoubliezPasLesFemmes pour un monde meilleur.