Mahmoubeh a 47 ans. Réfugiée en Grèce depuis un an, elle a fui les violences en Afghanistan. Volontaire pour CARE et l'un de nos partenaires, Mahmoubeh aide les nouveaux réfugiés à recevoir de l'aide. Découvrez son quotidien sur notre compte Instagram : @care_france.

« Je veux que mes enfants puissent aller à l’école. »

Mahmoubeh a 47 ans. Réfugiée en Grèce depuis plus d’un an, elle a fui les violences en Afghanistan.

Mahmoubeh est aujourd’hui traductrice. Elle aide les médecins et les conseillers du centre d’accueil, géré par Amurtel et CARE, à communiquer avec les réfugiées afghanes.

« Avec mon mari, nous avons travaillé pour plusieurs ONG en Afghanistan puis au Pakistan. Mais être en contact avec des humanitaires étrangers nous a mis en danger. On a dû fuir notre pays et les violences qui s’y déroulent. »

Mahmoubeh et sa famille ont fait une demande d’asile auprès des autorités grecques.

« Les démarches sont longues et compliquées. Parfois, nous perdons espoir. Vivre dans un pays étranger dans la plus grande incertitude est très dur. »

Mahmoubeh rêve que ses quatre enfants, âgés de 7 à 19 ans, puissent faire des études et avoir un avenir.

En Grèce, CARE soutient les réfugiés

60 000 réfugiés sont bloqués en Grèce suite à la fermeture des frontières européennes. Et ce nombre continue d’augmenter. En juin 2017, près de 27 900 personnes sont arrivées sur le sol grec.

À Athènes, CARE soutient un centre dédié aux femmes réfugiées enceintes ou avec des enfants en bas âge. Les femmes sont accompagnées médicalement et psychologiquement. Elles reçoivent aussi de la nourriture et des vêtements pour leurs enfants.

Rendez-vous sur Instagram du 6 au 12 novembre

Abonnez-vous à notre compte Instagram @care_france et découvrez le quotidien de sept femmes qui luttent contre la pauvreté dans les pays de développement. 

« Ce sont des femmes qui nous ressemblent de beaucoup de points de vue : leur bonne humeur, les petits moments du quotidien, comme les repas, les moments tendres avec leurs enfants, mais qui vivent dans une toute autre réalité, dans des conditions extrêmement précaires », explique Valérie Accary, directrice de l'agence BBDO Paris qui soutient CARE dans le cadre d'un mécénat de compétences.

« Les femmes sont les premières victimes de la pauvreté et des inégalités dans le monde. Avec cette campagne sur Instagram, nous voulions saluer toutes celles qui font preuve d’un courage incroyable pour améliorer leur vie et celle de leur famille. Elles donnent tout leur sens aux actions de CARE », explique Philippe Lévêque, directeur de CARE France.

#StoriesDuBoutDuMonde