épisode 1

Bangladesh. Comment les femmes et les filles luttent contre le mariage d’enfants ?

Au Bangladesh, où 1 fille sur 2 est victime de mariages forcés, l’association WADA accompagne les populations locales dans une double lutte : contre les mariages forcés et pour l’indépendance économique des femmes et des filles. Depuis le début des activités de l’association en 2011, les résultats sont là ! « Dans 17 des villages dans lesquels nous agissons, le taux de mariages forcés a chuté de 64% à 9%. Et pour 72 autres villages, on voit une baisse de 44% » , décrit Nilufa Akter Eaty, fondatrice de WADA.

épisode 2

Cameroun. Le combat des femmes pour gagner leur indépendance économique

Au Cameroun, les femmes ont deux fois moins accès que les hommes à un emploi. Face à ce constat, CARE et ses partenaires soutiennent des associations locales qui œuvrent pour l’indépendance économique des femmes de tous secteurs. De la promotion du secteur du numérique à l’apprentissage de leurs droits, les femmes entrepreneuses et les travailleuses domestiques gagnent en compétence et défendent leur indépendance.

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Une coalition d’ONG, dont CARE, soutient les organisations féministes locales

Dans 30 pays, le projet Féministes en Action soutient des associations féministes locales en Afrique, Asie, Amérique latine et au Proche Orient. L’objectif : donner aux organisations féministes engagées dans les pays des Suds des moyens d’agir et de construire un monde plus respectueux des droits des femmes et des filles.

  • Les associations féministes soutenues défendent les droits des femmes et des filles et particulièrement les droits et la santé sexuels et reproductifs, tout en luttant contre les violences basées sur le genre. Elles soutiennent aussi l’autonomie économique des femmes afin qu’elles puissent sortir de la pauvreté et devenir indépendantes.
  • Féministes en action est un projet financé par l’Agence Française de Développement et porté par 6 organisations : CARE (cheffe de file du projet), Equipop, le Fonds pour les Femmes Francophones, le Fonds pour les Femmes en Méditerranée, l’Initiative Pananetugri pour le Bien-être de la Femme et Oxfam France.