Dans un monde égalitaire, le droit à l’éducation de Trisha n’aurait pas été remis en question

"Le plus gros problème que rencontrent les filles est l’interdiction de poursuivre leur éducation. Nous avons nous aussi des ambitions pour le futur, mais nous n’avons pas les moyens de les réaliser."

Trisha, jeune fille d’une quinzaine d’années vivant au Bangladesh

Dans le monde, 129 millions de filles en âge d’être scolarisées ne vont pas à l’école (1). Priver un enfant de son droit à l’éducation a des conséquences terribles et bien réelles. Cela augmente son risque d’être piégé dans un cycle de pauvreté et de violences, de devenir victime de travail d’enfants, ou d’un mariage précoce.  

Dans un monde égalitaire, tous les enfants auraient accès à l’éducation, indépendamment de leur genre. 

Pour un monde égalitaire, l’ONG CARE soutient l’accès des filles à l’éducation

"Avant, je ne pouvais aller nulle part. Mais maintenant je peux aller où je veux : je peux aller à l’école, à l’université."

Trisha, dont la communauté au Bangladesh a été soutenue par CARE.

Au Bangladesh et partout dans le monde, l’association CARE travaille auprès des filles, de leurs parents et de leur communauté. Nous les sensibilisons sur l’importance des droits des filles et les soutenons dans leur accès à l’éducation. Nous soutenons les familles précaires à développer des activités génératrices de revenus pour qu’elles puissent sortir de la pauvreté et avoir les moyens d’envoyer leurs enfants à l’école. En parallèle, nous réhabilitons les écoles afin d’offrir un espace sûr et adapté aux enfants. Notre action transforme la vie des filles.  

Dans un monde égalitaire, la famille de Bintou n’aurait pas voulu la marier sans son consentement

"J’avais 12 ans quand ma famille m’a dit que j’allais me marier. L’homme que je devais épouser était riche, et nous étions pauvres."

Bintou, au Mali

1 femme sur 5 a été mariée avant ses 18 ans dans le monde (2). Les conséquences d’un mariage forcé sont très concrètes : risques accrus de subir de la violence domestique, arrêt de la scolarité et dépendance financière à son époux. Il est également plus probable pour la jeune fille de souffrir d’une grossesse précoce mettant sa vie ainsi que celle de son enfant en danger.  

Le mariage d’enfant va à l’encontre de leurs droits les plus fondamentaux. Dans un monde égalitaire et juste, personne ne serait marié enfant. 

Pour un monde égalitaire, l’ONG CARE soutient l’indépendance des filles

"Bintou étudiera jusqu'à ses 18 ans. Elle ne sera pas mariée de force, j’en fais la promesse."

Le père de Bintou, après avoir été sensibilisé par CARE contre les mariages précoces.

L’ONG CARE sensibilise les communautés sur les conséquences du mariage forcé. Les familles qui se trouvent contraintes d’envisager cette option pensent bien souvent sortir leur fille de la pauvreté et lui assurer un avenir meilleur ; or, c’est loin d’être le cas. Chaque fois que nous changeons les mentalités, nous aidons une fille à garder son indépendance. Cet apprentissage va de pair avec le développement économique des familles, afin qu’elles puissent, comme le père de Bintou, assurer la scolarisation de leur enfant. 

Sources : (1) Unicef ; (2) Unicef 
Au Mali, l'ONG CARE défend de droit des filles à l'éducation et à l'indépendance.
Bintou pourra poursuivre son éducation. ©CARE

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L’association CARE aide les femmes depuis 75 ans. Partout dans le monde, nous les aidons à sortir de l’extrême pauvreté et à défendre leurs droits. Soutien à l’entrepreneuriat, accès à l’éducation, aux soins de santé…  

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